Bun Hay Mean

Après le succès de son premier spectacle, Bun Hay Mean revient en force. On l’appelle “Le chinois marrant”. Tout est dit (ou presque, puisqu’il est plutôt franco cambodgien).

 

Bun Hay Mean

Bun Hay Mean est né d’un père cambodgien et d’une mère chinoise, qui ont fui la misère du Cambodge de Pol Pot en 1977 pour arriver en France dans un camp de réfugié à Toulouse. L’humoriste naît donc en France, à côté de Bordeaux.
Agoraphobe, il passe son adolescence en banlieue bordelaise, où il commence à écrire des sketchs et à faire du stand-up dans les différents cafés de Bordeaux. Il suit en parallèle de ses études des cours d’improvisation et obtient en 2006 une licence d’informatique à l’âge de 24 ans, puis travaille avant de tout lâcher pour lancer sa carrière d’humoriste à Paris.

Après le succès de son premier spectacle, Bun Hay Mean revient en force avec « Le monde appartient à ceux qui le construisent ».

On l’appelle “Le chinois marrant”. Tout est dit (ou presque, puisqu’il est plutôt franco-cambodgien). Bun Hay Mean est né d’un père cambodgien et d’une mère chinoise, qui ont fui la misère du Cambodge de Pol Pot en 1977 pour arriver en France dans un camp de réfugié à Toulouse. L’humoriste naît donc en France, à côté de Bordeaux.

Agoraphobe, il passe son adolescence en banlieue bordelaise, où il commence à écrire des sketchs et à faire du stand-up dans les différents cafés de Bordeaux. Il suit en parallèle de ses études des cours d’improvisation et obtient en 2006 une licence d’informatique à l’âge de 24 ans, puis travaille avant de tout lâcher pour lancer sa carrière d’humoriste à Paris.

Après des débuts difficiles, il continue de se produire dans des cafés et restaurants jusqu’à être repéré par Alain Degois, fondateur de la compagnie théâtrale du Déclic Théâtre. Il y rencontre notamment Kheiron, Kyan Khojandi et Jamel Debbouze. Ce dernier lui proposera d’intégrer la saison 7 de son émission, le Jamel Comedy Club en 2014.

C’est là qu’il commence à percer sur la scène parisienne et monte cette même année son premier spectacle « Chinois Marrant dans la légende de Bun Hay Mean » avec lequel il remplit le Grand Rex. Depuis sa révélation au JCC, il se produit dans plusieurs salles parisiennes et notamment à l’Apollo Théâtre en 2016.

Son humour cynique et engagé est le fruit de plusieurs inspirations, notamment américaine avec Georges Carline et plus récemment Dave Chapelle dont le sketch sur Trump lui a mis une claque. En France, Les Inconnus, Les nuls, Eric et Ramzy, Jamel Debbouze ou encore la série H sont ses principales références.

« On est là pour s’amuser et pour que les gens s’amusent que l’on s’amuse ». C’est la citation la plus polie de Bun qu’on ait trouvé pour illustrer à quel point il appréhende l’humour sans prise de tête, en cherchant avant tout à donner et faire ce qui lui plaît.

Avec son humour cassant, provocateur et cynique, Bun Hay Mean aborde avec beaucoup d’autodérision des thèmes très engagés comme ses origines, sa quête d’identité, ce qu’est « être français », « être chinois », il nous livre ses réflexions sur le monde et les problèmes de notre société (racisme, misogynie…). L’artiste nous offre un vrai message d’amour et de fraternité.

« Applaudissez pas, j’ai pas le temps ! » Sur un rythme effréné, les punchlines fusent en prenant à peine le temps de respirer, si bien que Bun pourrait même vous interdire de l’applaudir.

En plus de ses participations au Marrakech du Rire, au Montreux Comedy Festival, aux Open du Rire de Rire et Chanson ou encore au Festival Juste pour Rire à Montréal, Bun Hay Mean a fait voyager son spectacle aux quatre coins du monde. En effet,​ s​ ​uite à sa tournée en France, le comédien s’est produit partout : Martinique,​ Caraïbes, Guadeloupe, Haïti et Montréal en passant par New-York, Bun a même fait une tournée africaine au Cameroun, au Congo, en Côte d’Ivoire et au Maghreb avant de s’attaquer à l’Asie (passage obligé pour le Chinois marrant du stand-up). Il s’est ainsi produit à Hong-Kong, Bangkok, Singapour et même Shanghai.

Après son premier spectacle “Chinois Marrant dans la légende de Bun Hay Mean”, celui-ci revient avec son nouveau spectacle “Le monde appartient a ceux qui le fabriquent”. Il enchaîne les dates en 2020 mais ne délaisse pas les salles de comedy club pour autant.​ Un travailleur acharné qui a même pour projet d’écrire ​un film, de participer à une série dont le titre provisoire est « Belwide » et même de faire un pilote de late show avec Eric et Ramzy.