L’artiste continue sa quête de scènes de stand up avec le Fridge !
Né à Toulouse, Rémi Boyes a toujours écrit des sketchs. Petit, il tenait déjà un carnet et c’est à 18 ans, après un court passage en fac, qu’il découvre le stand-up en Irlande lorsque la boîte pour laquelle il travaillait l’y a invité. L’idée de devenir un jour humoriste commence alors à émerger, mais le déclic a lieu lors de son voyage en Chine, alors qu’il redécouvre le stand up et traine avec des comédiens. A son retour à Paris, il n’a plus qu’une idée en tête, devenir lui-même comique.
L’artiste continue sa quête de scènes de stand up avec le Fridge !
Né à Toulouse, Rémi Boyes a toujours écrit des sketchs. Petit, il tenait déjà un carnet et c’est à 18 ans, après un court passage en fac, qu’il découvre le stand-up en Irlande lorsque la boîte pour laquelle il travaillait l’y a invité. L’idée de devenir un jour humoriste commence alors à émerger, mais le déclic a lieu lors de son voyage en Chine, alors qu’il redécouvre le stand up et traine avec des comédiens. A son retour à Paris, il n’a plus qu’une idée en tête, devenir lui-même comique.
L’histoire est lancée, il commence alors à rouvrir son carnet et tourne quelques sketchs aux côtés de Damien Babikian qu’il a rencontré plus tôt, avant de monter sur scène et faire régulièrement des passages au labo du rire de Paname où il rencontre tous les comédiens de sa génération.
Souvent qualifié amicalement de « branleur », son style de vie à la cool l’inspire beaucoup et commence petit à petit à être de plus en plus naturel sur scène jusqu’à devenir le personnage sympa d’aujourd’hui, qui voit le public comme ses potes à qui il ferait des vannes sur scène comme dans la vie.
Ses principales influences étant d’abord Louis CK et Stewart Lee dont le sketch sur le 11 septembre fait pour lui référence, il s’ouvre par la suite aux humoristes d’ici et garde une forte inspiration de Shirley Souagnon et Adrien Arnoux.
Son personnage n’est également pas sans rappeler Pete Holmes qui, dans son air banal et gentil, aborde des thèmes très profonds.
Totalement autodidacte, on le voit aujourd’hui écrire et arpenter toutes les petites scènes parisiennes, tout en ne se prenant pas la tête, en étant lui-même :
« Mon style c’est se rapprocher le plus possible d’être un mec normal. »
Ce style naturel, il l’utilise pour se raconter, parler de lui, de son style « branleur » et désabusé. Il parle des situations marrantes que ça crée au quotidien, il explique pourquoi il est comme ça… Aucun filtre, de sa peur du courrier à la weed en passant par le grivois, le jeune stand-uppeur n’a pas de tabou.
« Quand j’arrive sur scène, les gens se disent que ce mec n’est pas l’archétype du gars en costard qui va travailler à la banque. Et j’essaie d’aller dans leur sens avec ces blagues-là. »
Après un passage au Montreux Comedy, Rémi Boyes a eu l’occasion d’assurer les premières parties de Fary au Grand Point-Virgule.
Il tourne régulièrement avec son ami Joseph Roussin avec qui il jouait au Sentier des Halles et Shirley Souagnon qu’il a accompagné dans sa chronique live hebdomadaire « Vivement Dimanche avec Michel Drucké » et joué au Bordel Club et aux comedy clubs naissant de la capitale.
Si l’humoriste avait déjà travaillé pour la télévision en créant la série « Access » pour C8, parallèlement à ses apparitions sur les plateaux parisiens, il écrit encore aujourd’hui la météo pour Canal+ avec Camille Lavabre qui l’a elle-même recommandé.
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