Rosa Bursztein

Une « Première fois » rapidement suivie d’un nouveau spectacle pour la parisienne.

Née le 9 mai 1989 en Île-de-France, Rosa Bursztein est une stand-uppeuse récente avec un long passé de comédienne. Dès l’âge de 8 ans, ses parents l’ont inscrite aux cours de théâtre pour enfants qu’elle a suivi aux cours Simon jusqu’en 4ème. A l’époque un peu ronde, c’est le rôle de la rigolote de service qui lui était associé. Le théâtre lui a alors servi de thérapie, elle qui à l’époque était si timide et introvertie. Son rêve étant de devenir une belle actrice, tout cela lui a permis de s’ouvrir aux autres et perdre du poids.C’est ainsi que la comédie devint pour elle une véritable passion, ce qui l’a poussé, toute cinéphile qu’elle est, à étudier plus tard en fac de cinéma à Paris III, parallèlement à ses cours de théâtre, chose qui l’a amenée à réaliser son premier court-métrage intitulé « La piscine ».

Rosa Bursztein

Une « Première fois » rapidement suivie d’un nouveau spectacle pour la parisienne.

Née le 9 mai 1989 en Île-de-France, Rosa Bursztein est une stand-uppeuse récente avec un long passé de comédienne. Dès l’âge de 8 ans, ses parents l’ont inscrite aux cours de théâtre pour enfants qu’elle a suivi aux cours Simon jusqu’en 4ème. A l’époque un peu ronde, c’est le rôle de la rigolote de service qui lui était associé. Le théâtre lui a alors servi de thérapie, elle qui à l’époque était si timide et introvertie. Son rêve étant de devenir une belle actrice, tout cela lui a permis de s’ouvrir aux autres et perdre du poids. C’est ainsi que la comédie devint pour elle une véritable passion, ce qui l’a poussé, toute cinéphile qu’elle est, à étudier plus tard en fac de cinéma à Paris III, parallèlement à ses cours de théâtre, chose qui l’a amenée à réaliser son premier court-métrage intitulé « La piscine ».
Si l’artiste a commencé comme comédienne de théâtre dès sa sortie du cours Florent en 2011 auprès de John Malkovich pour interpréter le rôle de Cécile de Volanges dans « Liaisons dangereuses », c’est seulement lorsqu’elle voit le spectacle de Vincent Dedienne qu’elle commence à s’intéresser au stand up et avoir le besoin de raconter sa vie, elle qui a toujours tenu un journal intime.
Être sur scène et parler à un public en février 2018 a alors été une révélation et l’humour devint rapidement pour elle une nouvelle passion.
Aujourd’hui, la trentenaire se montre en spectacle et exploite ses complexes sur les plateaux.
Ses inspirations sont nombreuses. Tant aux Etats Unis avec notamment Louis CK, Dave Chappelle, Tom Segura et Neal Brennan, mais aussi Ali Wong avec son spectacle « Baby cobra » et Lena Dunham, qui glorifie les imperfections de son corps.
En France, son humour féministe est influencé par Blanche Gardin et son jeu autour de sa maîtrise de la langue française lui vient de Desproges. Elle dit elle-même que pour faire de l’humour en France, il faut vraiment se pencher sur la question de la langue.
La stand-uppeuse dit également apprécier Hakim Jemili, Alexandre Kominek, Paul Dechavanne et Marina Rollman.
Autodérision et amour de la langue. Tels sont les maître-mots de l’humour de Rosa Bursztein qui appréhende le stand-up comme une amplification de ses défauts : « Pour moi le stand-up, c’est de l’autodestruction. Il faut être capable de parler de ses failles et s’affirmer en disant « non, je n’ai pas honte de qui je suis et je vais vous faire rire en vous racontant mon histoire. » »

A l’image d’une Blanche Gardin, la comique aborde des thèmes souvent tabous comme la solitude ou la sexualité d’une jeune femme, des sujets qui peuvent crisper comme l’écologie, la chasse et d’autres thèmes similaires.
Elle évoque aussi avec autodérision son nom de famille, son premier amour, son rapport au corps et à la séduction… le tout semble criant de vérités et s’en trouve peu élogieux, mais toujours hilarant : « Ma relation la plus longue, sept ans, c’était avec un homme que je voyais toutes les deux semaines le lundi à 15h : mon psy ! »

Après avoir gagné l’open mic du Laugh Steady Crew et participé au festival d’Avignon en 2018, Rosa Bursztein a lancé son spectacle « Ma Première Fois », joué à La Petite Loge de septembre 2018 à juin 2019 et elle revient aujourd’hui avec un deuxième spectacle intitulé « Tenir Debout ». Parallèlement, elle anime le podcast « Les mecs que je veux ken » qu’elle tient sur sa chaîne YouTube dans lesquels elle discute chaque fois avec un (ou des) humoriste(s) différent(s).